Bien qu'évoluant dans une sphère très différente de celle de la romancière (Fargue est le fils d'un ingénieur chimiste et célèbre céramiste ; il sacrifie d'autre part au parisianisme), le « Piéton de Paris » voue amitié et admiration à sa consœur. Membre avec elle du Groupe de Carnetin, il livre des témoignages sur la romancière dans deux ouvrages, qui reproduisent d'ailleurs à peu près le même texte : Refuges (chapitre intitulé « Notre Amie », repris dans un article d'Aujourd'hui du 2 avril 1942) et Portraits de famille (« Marguerite Audoux »). On retiendra deux signes de sa présence affective : le rôle qu'il tente de jouer en 1911 et 1912 pour éviter la séparation entre la romancière et Michel Yell, et la mission confiée par Jean Zay, dont il s'acquitte, de s'occuper de la tombe de la romancière.
Voir le témoignage de Francis Jourdain sur Fargue dans Sans remords ni rancune, Corrêa, 1953 (chapitre intitulé « Ceux de carnetin »).
Lettres échangées
Collection 1910 |
Carte postale de Valery Larbaud et Léon-Paul Fargue à Marguerite Audoux |
a comme auteur cette lettre |
Lettre (co-signée par Léon-Paul Fargue) de Valery Larbaud à Marguerite Audoux |
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Lettre de Léon‑Paul Fargue à Marguerite Audoux |
a comme auteur cette lettre |
Carte-lettre (petit bleu) de Marguerite Audoux et Michel Yell à Léon‑Paul Fargue |
a comme destinataire cette lettre |
Carte-lettre de Marguerite Audoux (et Michel Yell) à Léon‑Paul Fargue |
a comme destinataire cette lettre |
Carte-lettre de Marguerite Audoux à Léon‑Paul Fargue |
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Collection 1911 |
Carte postale de Marguerite Audoux à Léon‑Paul Fargue |
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